La région abandonnée d’Obock se meurt depuis un fameux 21 novembre 1991, date à laquelle toute la population du chef lieu de ce district a été contrainte d’abandonner sa ville pour fuir les exactions de l’armée gouvernementale.
Depuis cette triste date, rares sont les bonnes nouvelles de l’ancienne capitale de notre pays .
Selon des sources crédibles, pour une raison inconnue, l’école primaire d’Andoli, village situé à quelques dizaines de kilomètres au nord d’Obock-ville serait fermée depuis quelques jours.
Est-ce pour inaugurer sa campagne des pseudos élections communales que le régime prive les écoliers d’Andoli d’une scolarité normale ?
Affaire à suivre…