Après le récent communiqué de l’USN reconnaissant à démi-mot des erreurs politiques durant les dernières présidentielles, des voix s’élèvent pour exiger une alternative radicale et crédible.
A notre humble avis,il serait imprudent pour quiconque de s’ériger en censeur détenteur de la vérité.
Il faudrait trouver une solution de sortie de crise qui ne provoque pas le raidissement voire la fuite en avant de l’autre camp.
D’ici la rentrée,un large débat sans complaisance doit s’instaurer entre ceux qui ont opté pour une participation hasardeuse et d’autres qui ont eu raison de refuser un jeu politique truqué.
Le véritable défi : c’est de réussir à barrer la route au pouvoir illégitime soi-disant sorti des urnes qui se débat dans des difficultés internes insurmontables.