L’opposition djiboutienne accuse la France de soutenir la répression du régime
La prison de Gabode est souvent montrée du doigt en raison des conditions de détention.
03/11/2013 Par RFI
L’opposition djiboutienne n’apprécie pas l’attitude de la France et tient à le faire savoir. Durant plusieurs semaines, Ali Aden Bouraleh, le directeur de la prison centrale de Gabode de Djibouti, a suivi une formation à l’Ecole nationale d’administration pénitentiaire (Enap) d’Agen en France. Inadmissible pour la coalition de l’USN et les défenseurs des droits de l’homme qui accusent Paris de soutenir la répression menée par Djibouti à l’égard des opposants.
Ali Deberkale
Représentant de l’Union pour le salut national (USN) en Europe La prison de Gabode est là pour casser les opposants djiboutiens dans des conditions de détention épouvantables. La torture y est pratiquée. |