LE MOUVEMENT RADD AVAIT REMPORTÉ LES ÉLECTIONS MUNICIPALES EN 2012 AVEC UN RÉSULTAT DE PLUS DE 60% DE SUFFRAGE.
ENSUITE LES DEUX CONSEILS COMMUNAUX DE BALBALA ET DE BOULAOS ONT ÉTÉ MIS EN PLACE LESQUELS SERONT SUIVIS PAR L’INSTALLATION DU CONSEIL DE DJIBOUTI COMPOSÉ DE 35 MEMBRES .
LE CONSEIL DE DJIBOUTI JOUIT D’UN STATUT JURIDIQUE SPÉCIFIQUE SELON LA LOI 122 DU STATUT DE DJIBOUTI ET NE PEUT EN AUCUN CAS ÊTRE DESTITUÉ
AU MOIS DE MARS 2013, CE MÊME CONSEIL A SUBIT UN PUTSCH ET A ÉTÉ CHANGÉ PAR UN AUTRE CONSEIL ILLÉGITIME CHOISI PAR LE RÉGIME POUR ÉCARTER L’ANCIEN SUITE AU RALLIEMENT DE CES DERNIERS À LA COALITION DE L’OPPOSITION .
AU CAS OÙ LE CONSEIL SE VOIT DISSOUT ALORS DES NOUVELLES ÉLECTIONS DOIVENT AVOIR LIEU AUSSITÔT , DE CE FAIT, LE SOIT DISANT CONSEIL DE DJIBOUTI ACTUEL EST ILLÉGITIME VOIRE ILLÉGAL .
EN DÉPIT D’UN ARSENAL JURIDIQUE IMPORTANT , LE RÉGIME SE PERMIT DE BAFOUER LES INSTITUTIONS ET LES VALEURS RÉPUBLICAINES .
ET EN MATIÈRE DE TRANSFERT DE COMPÉTENCES, LA PROMESSE DU GOUVERNEMENT DE LA MIS EN PLACE D’UNE FISCALITÉ EFFECTIVE PRÉVU PAR L’ARTICLE 5 ALINÉA 2 DU DÉCRET N’A PAS ÉTÉ HONORÉE, LA SEULE COMPÉTENCE EFFECTIVEMENT TRANSFÉRÉE VERS LES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES EST CELLE RELATIVE À L’ÉTAT-CIVILE . AUCUN RESPECT AU CALENDRIER ÉTABLI MALGRÉ LA CONSTITUTIONALISATION DES DROITS ACCORDÉES AUX COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
ALORS OU SONT LES RÉFORMES DÉMOCRATIQUES DÉBUTEÉS OU ENGAGÉES PAR LE POUVOIR EN PLACE DEPUIS 14 ANS OU DEPUIS LES ACCORDS DE PAIX DE 2001 ET QUI AVAIENT OBLIGÉS LE RÉGIME D’INSTAURÉ LA DÉCENTRALISATION.
NORMAL C’EST LA DÉMOCRATIE À LA RPPIENNE !!!!
MR. ALI MOHAMED DATO,
PRÉSIDENT LÉGITIME DE LA COMMUNE DE BALBALA