Président de l’ANL
Il convient de signaler que l’heure est grave à Djibouti, surtout nous sommes touchés par le comportement du régime, car nous consommons un blocus politique, des actions de forces auxquelles les conséquences graves peuvent induire et conduire le pays vers le chaos et sur quoi nous n’avons pas jusque là des explications fiables sur cet état de fait. Mais, la raison valable susceptible de fournir la raison politique est d’interdire la connivence établie entre le peuple et la coalition USN. Puisqu’au clair, nous avions appris que beaucoup , à Balballa, ont été blessés, emprisonnés, harcelés et voir même disparus. Nous avions suggéré un dialogue national en vue de débloquer la situation. Ceci est demeurée sans fin; aucun résultat, aucune promesse n’est tenue. Comme si nous avions en face de nous un train à deux vitesse!
USN a étalé une panoplie d’ouverture, de consensus permettant de rapprocher les idées politiques, de faire de Djibouti un pays démocratique. De facto, le régime a eu froid au cœur, car cette forme de relation aurait menacer leurs manies habituelles que nous les connaissions!
Depuis hier, nous condamnons les actes du régime auxquels l’on ne sait de quoi qualifier. Aussi, tous les domiciles des leaders USN ont été surveillés par l’armée Djiboutienne et qui interdisent à la liberté de circulation: chose incroyable mais vrai.
Nous sommes pris en otage et la raison est ailleurs. Nous disons que la paix est importante, que le pays va mal, que la politique n’est plus consciente de ce qu’elle fait, c’est la grande chasse aux sorcières, le régime incite le peuple vers le mal, l’ambiance ne fait pas bon enfant…Le système est bloqué…Djibouti a besoin d’un secours à l’URGENCE.
Ismaël Guédi Hared,
Président de l’ANL