Nouvelle victoire diplomatique contre la dictature du couple Guelleh – Haïd
Depuis plusieurs mois, l’ambassadeur illégitime de Djibouti en France, Rachad Farah, déplaçait des montagnes pour décrocher la direction de l’UNESCO. Peine perdue car l’UNESCO ne veut pas du représentant d’une dictature pour diriger une aussi prestigieuse organisation.
Après l’Union européenne et l’humiliation de Bruxelles, c’est donc au tour de l’UNESCO de montrer que la communauté internationale n’est pas dupe de la propagande du régime. Le message est une fois de plus très clair : tant que le couple Guelleh-Haïd se maintiendra au pouvoir contre la volonté de la population djiboutienne,
Djibouti ne doit pas espérer jouer un rôle politique important sur le devant de la scène internationale. Rappelons que dès l’annonce de la candidature de Rachad Farah, un collectif d’intellectuels avait réagi.
Au nom de l’USN en Europe, je remercie tout spécialement l’écrivain Mr Abdourahman Waberi pour son action aussi engagée qu’efficace dans ce dossier. Je rappelle également à nos frères et nos sœurs actuellement à Djibouti, qu’ils peuvent compter sur le soutien et la détermination sans faille des Djiboutiens de la diaspora. La lutte continue.
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